Au XVIIIe siècle, sel, poissons et toiles se marchandent chez les négociants du Légué. Au siècle suivant, le port voit transiter pierre à chaux, plâtre, bois, métaux, houille… On exporte du beurre, des graisses, du chanvre et des céréales tandis que l’îlot du quai Armez abrite des sécheries de morues pêchées à Terre Neuve. Desservi par le chemin de fer en 1887, le port se reconvertit (charbon anglais, bois du Nord, pâte à papier, hydrocarbures, vins d’Algérie…) et s’industrialise (fonderies Sébert, ateliers Rosengart, Chaffoteaux).